Catéchèses du pape François sur le discernement
Le pape a débuté un nouveau cycle de catéchèses sur le thème du discernement. Lisez-les dans cet article pour en savoir plus sur ce véritable chemin de vie et de joie.
Cet acte du quotidien qu’est le discernement, pour les petits comme les grands choix de la vie, exige plusieurs dispositions de notre part : accepter le défi, faire preuve de finesse et exercer sa volonté, a exhorté le Saint-Père.
Première catéchèse sur le discernement : que signifie discerner ?
« Chers frères et sœurs,
Nous commençons aujourd’hui, un nouveau cycle de catéchèses : nous avons terminé les catéchèses sur la vieillesse, à présent, nous commençons un nouveau cycle sur le thème du discernement. Discerner est un acte important qui concerne tout le monde, car les choix sont une partie essentielle de la vie. Discerner les choix. On choisit une nourriture, un vêtement, un parcours d’études, un travail, une relation. Dans tout cela, se concrétise un projet de vie et également notre relation avec Dieu.
Dans l’Evangile, Jésus parle de discernement avec des images tirées de la vie ordinaire ; par exemple, il décrit les pêcheurs qui sélectionnent de bons poissons et rejettent les mauvais ; ou le marchand qui sait identifier, parmi de nombreuses perles, celle qui a le plus de valeur. Ou celui qui, en labourant un champ, tombe sur quelque chose qui se révèle être un trésor (cf. Mt 13, 44-48). »
Deuxième catéchèse sur le discernement : l’exemple d’Ignace de Loyola
« Chers frères et sœurs, bonjour !
Dans la poursuite de notre réflexion sur le discernement, – en ce moment nous parlerons chaque mercredi du discernement spirituel -, et pour cela la référence à un témoignage concret peut nous être utile.
L’un des exemples les plus instructifs nous est offert par saint Ignace de Loyola, avec un épisode décisif de sa vie. Ignace se trouve en convalescence chez lui après avoir été blessé au combat à une jambe. Pour chasser l’ennui, il demande quelque chose à lire. Il aimait les récits de chevalerie, mais malheureusement, on ne trouve que des vies de saints à la maison. Il s’adapte un peu à contrecœur, mais au fil des lectures, il commence à découvrir un autre monde, un monde qui le conquiert et qui semble rivaliser avec celui des chevaliers. Il est fasciné par les figures de saint François et de saint Dominique et ressent le désir de les imiter. Mais le monde chevaleresque continue également d’exercer sa fascination sur lui. Et ainsi il ressent en lui cette alternance de pensées, celles de la chevalerie et celles des saints, qui semblent équivalentes. »
Troisième catéchèse sur le discernement : la familiarité avec le Seigneur
« Chers frères et sœurs, bonjour !
Nous reprenons les catéchèses sur le thème du discernement, – parce que le sujet du discernement est très important pour savoir ce qui se passe en nous ; des sentiments et des idées, nous devons discerner d’où ils viennent, où ils me mènent, à quelle décision – et aujourd’hui nous nous focalisons sur le premier de ses éléments constitutifs, qui est la prière. Pour discerner, nous devons être dans un environnement, dans un état de prière
La prière est une aide indispensable au discernement spirituel, surtout lorsqu’elle implique les affects, permettant de s’adresser à Dieu avec simplicité et familiarité, comme on parle à un ami. C’est savoir aller au-delà des pensées, entrer dans l’intimité avec le Seigneur, avec une spontanéité affectueuse. Le secret de la vie des saints est la familiarité et la confiance en Dieu, qui grandit en eux et leur permet toujours plus facilement de reconnaître ce qui Lui est agréable. La prière véritable est la familiarité et la confiance avec Dieu. Ce n’est pas réciter des prières comme un perroquet, bla bla bla, non. La vraie prière est cette spontanéité et cette affection avec le Seigneur. Cette familiarité vainc la crainte ou le doute que Sa volonté ne soit pas pour notre bien, une tentation qui traverse parfois nos pensées et rend le cœur agité et incertain ou amer, également. »
Quatrième catéchèse sur le discernement : se connaitre soi-même
« Chers frères et sœurs, bonjour !
Nous poursuivons notre réflexion sur le thème du discernement. La dernière fois nous avons considéré la prière comme son élément indispensable, considérée comme familiarité et confiance en Dieu. La prière, non comme les perroquets. Non : la prière comme familiarité et confiance en Dieu ; la prière des enfants à leur Père ; la prière avec le cœur ouvert. Nous l’avons vu dans la dernière catéchèse. Aujourd’hui, je voudrais, de manière presque complémentaire, souligner qu’un bon discernement demande aussi la connaissance de soi-même. Se connaître soi-même. Et ce n’est pas facile, hein ! En effet, cela implique nos facultés humaines : la mémoire, l’intellect, la volonté, l’affectivité. Souvent, nous ne savons pas discerner parce que nous ne nous connaissons pas suffisamment et ne savons pas non plus ce que nous voulons vraiment. Vous avez souvent entendu : « Mais cette personne, pourquoi n’arrange-t-elle pas sa vie ? Jamais elle n’a su ce qu’elle voulait… ». Il y a des gens qui… Et puis oui, sa vie va comme ça, parce qu’elle ne sait pas non plus ce qu’elle veut. Sans aller à cet extrême, il nous arrive également de ne pas bien savoir ce que nous voulons, nous ne nous connaissons pas bien. »
Cinquième catéchèse sur le discernement : le désir
« Chers frères et sœurs, bonjour !
Dans ces catéchèses sur le discernement, nous sommes en train de passer en revue les éléments du discernement. Après la prière, un élément et la connaissance de soi, un autre élément, c’est-à-dire prier et se connaître soi-même, je voudrais aujourd’hui parler d’un autre « ingrédient » pour ainsi dire indispensable : je voudrais aujourd’hui parler du désir. En effet, le discernement est une forme de recherche, et la recherche naît toujours de quelque chose qui nous manque mais que nous connaissons d’une manière ou l’autre, nous avons le flair.
De quelle nature est cette connaissance ? Les maîtres spirituels la désignent par le terme de « désir » qui, à la base, est une nostalgie de plénitude qui ne trouve jamais son plein accomplissement, et est le signe de la présence de Dieu en nous. Le désir n’est pas l’envie du moment, non. Le mot italien vient d’un très beau terme latin, C’est curieux : de-sidus, littéralement » l’absence de l’étoile « , le désir est une absence de l’étoile, l’absence du point de référence qui oriente le chemin de la vie ; il évoque une souffrance, un manque, et en même temps une tension pour atteindre le bien qui nous manque. Le désir est alors la boussole qui permet de comprendre où j’en suis et où je vais, ou plutôt c’est la boussole qui me permet de savoir si je suis arrêté ou si je suis en train de marcher, une personne qui ne désire jamais est une personne immobile, peut-être malade, presque morte. C’est la boussole qui me permet de savoir si je suis en train d’avancer ou si je suis immobile. Et comment est-ce possible de le reconnaître ? »
Sixième catéchèse sur le discernement : le livre de sa propre vie
« Chers frères et sœurs, bienvenus et bonjour !
Ces semaines-ci, nous insistons dans les catéchèses sur les conditions pour faire un bon discernement. Dans la vie, nous devons prendre des décisions, toujours, et pour prendre des décisions, nous devons faire un chemin, un processus de discernement. Toute activité importante comporte ses « instructions » à suivre, qu’il faut connaître pour qu’elles produisent les effets nécessaires. Aujourd’hui, nous nous concentrons sur un autre ingrédient indispensable au discernement : l’histoire de sa propre vie. Connaître son histoire de vie est un ingrédient – disons – indispensable au discernement.
Notre vie est le « livre » le plus précieux qui nous ait été donné, un livre que beaucoup ne lisent malheureusement pas, ou le font trop tard, avant de mourir. Et pourtant, c’est précisément dans ce livre que l’on trouve ce que l’on cherche inutilement par d’autres voies. Saint Augustin, un grand chercheur de la vérité, l’avait compris précisément en relisant sa vie, en y notant les pas silencieux et discrets mais incisifs de la présence du Seigneur. Au terme de ce parcours, il notera avec stupeur : « Tu étais au-dedans de moi et moi au-dehors. Et là, je te cherchais. De ma laideur, je me jetais sur les belles formes de tes créatures. Tu étais avec moi, mais moi je n’étais pas avec toi » (Confessions X, 27.38). D’où son invitation à cultiver la vie intérieure pour trouver ce que l’on cherche : « Rentre en toi-même. Dans l’homme intérieur habite la vérité » (La vraie religion, XXXIX, 72). C’est une invitation que je vous lancerais à vous tous, et même à moi-même : » Rentre en toi-même. Lis ta vie. Lis-toi de l’intérieur, comment a été ton parcours. Avec sérénité. Rentre en toi-même. »
Septième catéchèse sur le discernement : la désolation
« Le discernement, nous l’avons vu dans les catéchèses précédentes, n’est pas principalement une procédure logique; il concerne les actions, et les actions ont aussi une connotation affective, qui doit être reconnue, parce que Dieu parle au cœur. Voyons alors la première modalité affective, objet du discernement, c’est-à-dire la désolation. De quoi s’agit-il ?
La désolation a été définie ainsi: «Les ténèbres et le trouble de l’âme, l’inclination aux choses basses et terrestres, les diverses agitations et tentations qui la portent à la défiance, et la laissent sans espérance et sans amour, triste, tiède, paresseuse, et comme séparée de son Créateur et Seigneur». (Saint Ignace de Loyola, Exercices spirituels, 317). Nous en avons tous fait l’expérience. Je crois que d’une façon ou d’une autre, nous avons fait l’expérience de cela, de la désolation. Le problème est comment pouvoir la lire, car elle aussi a quelque chose d’important à nous dire, et si nous sommes pressés de nous en débarrasser, nous risquons de la perdre. »
Huitième catéchèse sur le discernement : pourquoi sommes-nous désolés ?
« Chers frères et sœurs, bonjour et bienvenus !
Nous reprenons aujourd’hui le cycle de catéchèse sur le thème du discernement. Nous avons vu combien il est important de lire ce qui se meut à l’intérieur de nous, afin de ne pas prendre de décisions hâtives, sur la lancée de l’émotion du moment, pour ensuite les regretter quand il est désormais trop tard. C’est-à-dire lire ce qui arrive et ensuite prendre les décisions.
En ce sens, même l’état spirituel que nous nommons désolation, quand dans le cœur tout est sombre, c’est triste, cet état de la désolation peut être une occasion de croissance. En effet, s’il n’y a pas un peu d’insatisfaction, un peu de tristesse salutaire, une saine capacité d’habiter la solitude, et d’être avec nous-mêmes sans fuir, nous risquons de rester toujours à la superficie des choses et de ne jamais prendre contact avec le centre de notre existence. La désolation provoque une « secousse de l’âme » : quand on est triste, c’est comme si l’âme était secouée ; cela tient en alerte, favorise la vigilance et l’humilité et nous protège du vent des caprices. Ce sont des conditions indispensables pour le progrès dans la vie, et donc aussi dans la vie spirituelle. Une sérénité parfaite mais « aseptique », sans sentiments, lorsqu’elle devient le critère des choix et des comportements, nous rend inhumains. »
Neuvième catéchèse sur le discernement : la consolation
« Chers frères et sœurs, bonjour !
Nous poursuivons les catéchèses sur le discernement de l’esprit : comment discerner ce qui se passe dans notre cœur, dans notre âme. Et après avoir considéré quelques aspects de la désolation – cette nuit obscure de l’âme – parlons aujourd’hui de la consolation, qui serait la lumière de l’âme, et qui est un autre élément important pour le discernement, et à ne pas prendre pour acquis, car elle peut prêter à équivoque. Nous devons comprendre ce qu’est la consolation, tout comme nous avons essayé de bien comprendre ce qu’est la désolation.
Qu’est-ce que la consolation spirituelle ? C’est une expérience profonde de joie intérieure, qui permet de voir la présence de Dieu en toutes choses ; elle renforce la foi et l’espérance, ainsi que la capacité à faire le bien. La personne qui fait l’expérience de la consolation ne se résigne pas face aux difficultés, car elle éprouve une paix plus forte que l’épreuve. Il s’agit donc d’un grand don pour la vie spirituelle et pour la vie dans son ensemble. Et vivre cette joie intérieure. »
Dixième catéchèse sur le discernement : la consolation authentique
« Chers frères et sœurs, bonjour !
Dans notre réflexion sur le discernement, et en particulier sur l’expérience spirituelle appelée « consolation », dont nous avons parlé mercredi dernier, demandons-nous : comment reconnaître la vraie consolation ? C’est une question très importante pour un bon discernement, afin de ne pas se fourvoyer dans la recherche de notre vrai bien.
Nous pouvons trouver quelques critères dans un passage des Exercices spirituels de saint Ignace de Loyola. Il dit : « Si dans les pensées tout est bien – dit saint Ignace – le début, le milieu et la fin sont entièrement bons, orientés entièrement vers le bien, c’est le signe du bon ange. Mais si le déroulement de nos pensées nous amène finalement à quelque chose de mauvais, ou de distrayant, ou de moins bon que ce que l’âme projetait d’abord, ou qui affaiblit, inquiète et trouble l’âme en lui enlevant la paix, en lui enlevant la tranquillité et le repos qu’elle avait auparavant c’est un signe clair qu’il procède du mauvais esprit » (n° 333). Car c’est vrai : il y a une vraie consolation, mais il y a aussi des consolations qui ne sont pas vraies. Et pour cela, il faut bien comprendre le processus de la consolation : comment va-t-il et où me mène-t-il ? Et s’il me conduit à quelque chose d’inférieur, qui n’est pas bon, la consolation n’est pas vraie, elle est feinte, disons. »
Onzième catéchèse sur le discernement : la confirmation de la bonne décision
« Chers frères et sœurs, bonjour !
Dans le processus de discernement, il est également important de rester attentif à la phase qui suit immédiatement la décision prise, -Je dois prendre une décision, Je fais un discernement, pour ou contre, des sentiments, je prie… puis ce processus se termine et je prends la décision et ensuite vient cette phase où nous devons faire attention : afin de voir, les signes qui la confirment ou ceux qui l’infirment. Parce que dans la vie, il y a des décisions qui ne sont pas bonnes et il y a des signes qui la démentent, en revanche elles confirment les bonnes.
En effet, nous avons vu que le temps est un critère fondamental pour reconnaître la voix de Dieu au milieu de tant d’autres voix. Lui seul est Seigneur du temps : c’est là une marque de son originalité, qui le distingue des imitations qui tentent de parler en son nom sans y parvenir. Un des traits du bon esprit est le fait qu’il communique une paix qui dure dans le temps : si tu prends une décision, un processus, puis tu prends la décision, si cela te donne une paix qui dure dans le temps, c’est un bon signe, que la démarche a été bonne. Une paix qui apporte harmonie, unité, ferveur, zèle. Tu sors du processus meilleur que tu n’y es entré. »
Douzième catéchèse sur le discernement : la vigilance
« Chers frères et sœurs, bonjour !
Nous entrons à présent dans la phase finale de ce parcours catéchétique sur le discernement. Nous nous sommes d’abord appuyés sur l’exemple de saint Ignace de Loyola ; nous avons ensuite considéré les éléments du discernement – à savoir la prière, la connaissance de soi, le désir et le « livre de la vie » – ; nous nous sommes penchés ensuite sur la désolation et la consolation, qui en constituent la « matière » ; puis nous en sommes parvenus à la confirmation du choix effectué.
Je considère qu’il est nécessaire à ce point de rappeler une attitude essentielle afin de ne pas perdre tout le travail effectué pour discerner le meilleur et prendre la bonne décision, et cette attitude serait celle de la vigilance. Nous avons fait le discernement, consolation et désolation ; nous avons fait un choix… Tout va bien, mais à présent il faut être vigilant : l’attitude de la vigilance. Car le risque est bien là, comme nous l’avons entendu dans le passage de l’Évangile qui a été lu. Le risque est là, et c’est que le » trouble-fête « , c’est-à-dire le Malin, peut tout gâcher, nous faisant retourner au point de départ, voire dans un état encore pire. Et cela arrive, il faut donc être prudent et vigilant. C’est pourquoi il est indispensable d’être vigilant. C’est pourquoi aujourd’hui il me semble opportun de souligner cette attitude, dont nous avons tous besoin pour que le processus de discernement se termine bien et demeure. »
Treizième catéchèse sur le discernement : exercices pour aider au discernement
Chers frères et sœurs,
Aujourd’hui, je voudrais vous proposer quelques aides plus précises pour faciliter cet exercice du discernement, indispensable à la vie spirituelle.
Une première aide importante nous vient de la Parole de Dieu et de la doctrine de l’Église. La Bible nous avertit que la voix de Dieu résonne dans l’attention, dans le silence. Elle ne s’impose pas, elle est discrète comme la brise, respectueuse. Pour le croyant, la Parole de Dieu n’est pas simplement un texte à lire, elle est une présence vivante, un véritable avant-goût du paradis. Ce lien affectif avec l’Écriture conduit à une deuxième aide, qui nous vient de notre propre relation affective avec le Seigneur Jésus, car elle nous révèle un Dieu plein de compassion et de tendresse, et l’expérience que nous en faisons fait fondre nos résistances et nos doutes. Elle nous apprend à nous tenir devant le Crucifix, comme les saints, parce que la lumière de Pâques traverse Jésus crucifié. Enfin, n’oublions pas le don du Saint-Esprit qui est le discernement en action, présence de Dieu en nous, mais aussi le don le plus grand que le Père offre à ceux qui le lui demandent et que la liturgie des Heures nous fait répéter :
« Seigneur viens à notre secours ! »
Quatorzième catéchèse sur le discernement : l’accompagnement spirituel
Avant de commencer cette catéchèse, je voudrais que nous nous joignions à ceux qui, ici près de nous, rendent hommage à Benoît XVI et adresser mes pensées à celui qui fut un grand maître de la catéchèse. Sa pensée vive et aimable n’était pas autoréférentielle, mais ecclésiale, car il a toujours voulu nous accompagner vers la rencontre avec Jésus. Jésus, le Crucifié ressuscité, le Vivant et le Seigneur, a été le but vers lequel le Pape Benoît nous a conduits, en nous prenant par la main. Qu’il nous aide à redécouvrir dans le Christ la joie de croire et l’espérance de vivre.
Avec cette catéchèse d’aujourd’hui, nous concluons le cycle consacré au thème du discernement, et nous le faisons en complétant le discours sur les aides qui peuvent et doivent le soutenir: soutenir le processus de discernement. L’une d’entre elles est l’accompagnement spirituel, important tout d’abord pour la connaissance de soi, dont nous avons vu qu’elle était une condition indispensable au discernement. Se regarder dans le miroir, seuls, n’aide pas toujours, parce que cela peut altérer l’image. En revanche, se regarder dans le miroir avec l’aide de quelqu’un d’autre, cela aide beaucoup parce que l’autre te dit la vérité — lorsqu’il dit la vérité — et cela t’aide.
Pour aller plus loin :
- Découvrir la vidéo de Prie en Chemin sur le discernement
- Découvrir « Comment prendre une bonne décision ? » avec Prie en chemin
- Découvrir toutes les propositions du portail Prie en chemin liées au discernement