Notre histoire
L’histoire de la Compagnie de Jésus (les jésuites) débute au XVI° siècle, à une époque qui ressemble fortement à la notre : de grandes découvertes (l’Amérique), de grandes tensions internationales (entre l’Occident et l’empire Ottoman), une explosion de la communication grâce à l’avènement de l’imprimerie, de violentes querelles religieuses (la réforme de Luther est condamné en 1520) et l’avènement de l’individu.
Partie de Paris et Rome, la Compagnie va rapidement s’étendre aux quatre coins du monde pour une « plus grande gloire de Dieu » (Ad Majorem Dei Gloriam).
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Notre histoire
A Rome, dans la Basilique Saint-Pierre, la pape Pie IX béatifie Pierre Claver, “l’Apôtre des Esclaves ».
Le pape Pie VII, avec la bulle « Sollicitudo Omnium Ecclesiarum », approuve la restauration de la Compagnie de Jésus.
L’Académie de Georgetown ouvre ses portes avec un seul élève âgé de 12 ans, qui sera le premier étudiant formé par les jésuites aux États Unis d’Amérique.
Frédéric II de Prusse et Catherine de Russie interdisent la publication de l’édit de la Suppression de la Compagnie dans leurs territoires respectifs.
Le pape Clément XIV publie “Dominus ac Redemptor”, un écrit apostolique supprimant la Compagnie de Jésus.
Le Parlement de Paris condamne la Compagnie de Jésus, comme opposée à la loi naturelle. Les propriétés jésuites sont confisquées et le style de vie et de communauté jésuites sont interdits.
L’impératrice Marie-Thérèse d’Autriche décrète que les chaires de théologie dans toutes les universités de l’Empire seront désormais tenues par des dominicains ou des augustiniens afin d’éviter « la doctrine corrompue enseignée par les jésuites ».
Edit royal contre les jésuites portugais. A Lisbonne, 133 pères et frères de la Compagnie sont envoyés en exil sur un navire pour Civitavecchia. Ils y sont accueillis par le pape Clément XIII et par des communautés religieuses, particulièrement les dominicains.
Le pape Benoît XIV tranche dans la controverse entre les jésuites et les autres ordres religieux concernant les rites chinois et malabars en interdisant aux jésuites de poursuivre leur pratiques liturgiques qui furent crées en Chine.
TOTO
Notre histoire
A Rome, dans la Basilique Saint-Pierre, la pape Pie IX béatifie Pierre Claver, “l’Apôtre des Esclaves ».
Le pape Pie VII, avec la bulle « Sollicitudo Omnium Ecclesiarum », approuve la restauration de la Compagnie de Jésus.
L’Académie de Georgetown ouvre ses portes avec un seul élève âgé de 12 ans, qui sera le premier étudiant formé par les jésuites aux États Unis d’Amérique.
Frédéric II de Prusse et Catherine de Russie interdisent la publication de l’édit de la Suppression de la Compagnie dans leurs territoires respectifs.
Le pape Clément XIV publie “Dominus ac Redemptor”, un écrit apostolique supprimant la Compagnie de Jésus.
Le Parlement de Paris condamne la Compagnie de Jésus, comme opposée à la loi naturelle. Les propriétés jésuites sont confisquées et le style de vie et de communauté jésuites sont interdits.
L’impératrice Marie-Thérèse d’Autriche décrète que les chaires de théologie dans toutes les universités de l’Empire seront désormais tenues par des dominicains ou des augustiniens afin d’éviter « la doctrine corrompue enseignée par les jésuites ».
Edit royal contre les jésuites portugais. A Lisbonne, 133 pères et frères de la Compagnie sont envoyés en exil sur un navire pour Civitavecchia. Ils y sont accueillis par le pape Clément XIII et par des communautés religieuses, particulièrement les dominicains.
Le pape Benoît XIV tranche dans la controverse entre les jésuites et les autres ordres religieux concernant les rites chinois et malabars en interdisant aux jésuites de poursuivre leur pratiques liturgiques qui furent crées en Chine.
Un jésuite inspirant : Henri de Lubac
Le P. Michel Fédou sj, professeur de théologie aux Facultés Loyola Paris, nous raconte dans une méditation ce qui le touche et l'inspire chez le jésuite Henri de Lubac
Un jésuite inspirant : Pierre Teilhard de Chardin
Le P. Dominique Degoul sj, directeur du Centre Teilhard de Chardin à Saclay, nous raconte dans une méditation ce qui le touche et l'inspire chez le jésuite Pierre Teilhard de Chardin
Les jésuites et les arts en peinture
Une nouvelle œuvre du peintre d’art sacré Raúl Berzosa, réalisée pour le Centre Antinori des arts du lycée jésuite de Tampa en Floride, a été dévoilée le 24 avril 2023. Dans ce tryptique grand format, l’artiste représente la relation entre les jésuites et les sept beaux-arts.
Il y a 500 ans, Ignace de Loyola en Terre Sainte
Il y a 500 ans, les franciscains de la Custodie de Terre Sainte ont joué un rôle majeur dans l’Histoire de l’Église. Ils ont renvoyé de Terre Sainte, pour excès de zèle, un chevalier basque tout juste converti. Ignace de Loyola l’ignorait encore, mais il repartait pour fonder, quelques années, plus tard, la Compagnie de Jésus, dont on appelle les membres les jésuites. Dans son numéro d'été 2023, Terre Sainte Magazine, la revue officielle des Franciscains de Terre Sainte, revient sur ce pèlerinage singulier.
Avec la nouvelle application Jesuit pilgrimage, marcher sur les traces d’Ignace
Cartes, photographies en 360 degrés, méditations audio avec textes… L'application gratuite Jesuit Pilgrimage invite les internautes à suivre Ignace de Loyola dans tous les lieux qui ont marqué sa vie et à laisser ces lieux leur parler comme ils l’ont fait pour saint Ignace il y a 500 ans.
Le cardinal Henri de Lubac sj
Le 31 mars 2023, les évêques de France réunis en assemblée ont voté l’ouverture de la cause en vue d’une éventuelle béatification du cardinal Henri de Lubac, jésuite (1896-1991). À travers l’œuvre de ce théologien se dessine un itinéraire de croyant : une foi attentive aux problèmes du temps, enracinée dans l'expérience de Dieu, nourrie de l'Écriture, attachée à la vie de l'Église. Dans la revue Croire aujourd’hui parue en mai 1999, le P. Michel Fédou sj présentait l’œuvre du cardinal de Lubac.
